jeudi 28 mai 2009

Depuis Dallas j'aime les séries et dans la pub c'est pareil ! La saga Cravendale… des vaches encore des vaches, toujours des vaches…

J'ai toujours trouvé les séries rassurantes, je trouve ça rassurant de savoir que la semaine prochaine et la suivante et encore la suivante on va retrouver les mêmes personnages, les mêmes lieux et des fois les mêmes histoires… et que ça va durer comme ça presque sans fin… Il faut dire que quand j'aime, je suis plutôt du genre qui s'attache. Et quand on me prive de ce que j'aime, je dors mal et quand je dors mal je suis de mauvaise humeur… et quand je suis de mauvaise… ça j'évite d'en parler… Et comme j'aime toute sorte de séries il y a même des pubs que j'aime voir revenir et revenir encore et toujours et la saga des petites vaches Cravendale en fait partie…




Mais pourquoi, eh si, j'ai une tête à boire du lait d'abord… est-ce qu'ils nous cuisinent ça…

mardi 26 mai 2009

A la recherche du casse-croûte perdu… premier épisode, casse-croûtage entre merguez et harissa…

Du temps où mes journées se finissaient au petit matin, forcément, elles ne me commençaient pas exactement au chant du coq… Mes journées d'alors avaient plutôt tendance à se lever comme moi vers 13 ou 14h et j'avais alors pour tout souvenir de la veille une sorte de douleur perçante qui partait en vrille perforante au moindre bruit ! Lors de ces journées-là il n'était pas question que je trouve la nourriture nécessaire à ma survie au sein d'un frigo où se terrait différentes choses qui, un jour, avaient dû être des aliments.
Il faut dire qu'à l'époque les choses de la " bouffe " n'étaient pas pour moi une priorité, elles avaient même pour unique fonction de me permettre d'avancer jusqu'au petit matin suivant... et surtout de me permettre de traquer les filles jusqu'à ces petits matins…
Du coup c'est régulièrement au petit bistro du coin que je trouvais de quoi me remplir en carburant alimentaire. Curieusement j'avais remarqué que, sans doute attentif à ma visible détresse face aux bruits, mon petit bistrotier prenait garde à faire régner le silence autour de moi en me servant mon classique café accompagné d'un copieux casse-croûte saucisson beurre. Il regardait même alors avec désapprobation certains de ses clients décidés à raconter, à ce moment de recueillement, et à grand bruits leurs aventures hippiques ou l'apéro de la veille avec Neness, Polo et les autres… Sans doute que lui aussi avait été un ours sensible bruits matinaux dans une autre vie… c'est en tout cas ce que j'avais compris à son regard qui me disait en silence, je sais, je sais…
Et c'est ainsi que grâce à ce régime, j'ai survécu quelques années et attrapé chacun de ces matins une haleine à mi-chemin entre celle d'un poney sauvage et celle d'un pâté d'une quinzaine de jours…
Du coup quand on m'a proposé d'être jury du concours de sandwiches lancé par le site www.recettespourtous et Sodeb'O , pour tous les détails du jeux c'est là : Grand concours sandwiches , je me suis demandé quel serait le casse-croûte qui aujourd'hui me ferait rêver…
Et après avoir écrasé une larme en pensant à mon saucisson beurre d'antan, je suis parti à la recherche DU casse-croûte qui me ferait saliver et que je suis parti en quête du sandwich perdu…
Et ma première étape va donc être ma version du " sandwich merguez au harissa " comme disait le New york Times dans un article consacré aux casse-croûtes qui nourrissent l'Amérique ! Et si vous voulez vous aussi essayer de me faire rêver n'hésitez pas à participer au jeu…
Casse-croûtage entre merguez et harissa…
Ingrédients pour un casse-croûte : 1/3 de baguette de préférence de campagne – 2 ou 3 merguez – 1tomate pas trop mûre – 50g de concombre – 1douzaine d'olive vertes dénoyautées - de la harissa – de la coriandre fraîche
Faites bien dorer les merguez sur un grill ou encore mieux sur un barbecue. Coupez la tomates en tranches, le concombre en cubes et les olives en 4. Effeuillez la coriandre.
Il n'y a plus qu'à monter le casse-croute, d'abord le tomates, ensuite les merguez, le concombre, les olives, la harissa au goût et la coriandre…
Mangez en vous disant que subitement il fait bien chaud dans votre bouche…

Mais pourquoi, les casse-croutes chicanos vont-ils envahir les States… est-ce qu'ils nous cuisinent ça…

vendredi 22 mai 2009

Quand Orangina libère la bête qui est en nous…serions-nous tous des hyènes ???

Depuis quelques temps je croise une curieuse girafe à roulettes qui passe son temps à enlever le bellâtre de passage… et à franchement parler je suis resté septique devant ce spectacle publicitaire produit par la boisson à la drôle de bouteille. Et puis je suis tombé sur cette hyène et là… là je me suis beaucoup plus reconnu en elle ! Allez juste une fois…


Mais pourquoi, allez une dernière fois… juste une dernière… est-ce qu'ils nous cuisinent ça…

mercredi 20 mai 2009

Et si le brebis envahissait le monde… enfin en commençant par les plateaux de fromages ! Et tatin au brebis… et autres choses…

Quand on me propose de découvrir des produits, il y a quelques boutons sur lesquels il suffit d'appuyer pour mettre directement en marche la machine à sourire béatement et me mettre la petite goutte de bave qui tremble à la commissure des lèvres…
J'ai toujours eu la fibre du terroir à fleur de peau, et du coup dès que l'on m'agite quelques jolies habitudes venant du fin fond de la mémoire de nos provinces ou quelques savoir-faire transmis de bouche à oreille… mais pas de ces images d'Epinal qui ne sont que des images, non celles qui perdurent et font vivre bien des vallées et des montagnes en s'adaptant, en avançant, en vivant tout simplement… Là donc , moi j'ai le sourcil qui plisse en forme de V et l'intérêt aux aguets.
Le problème c'est qu'ensuite alors que suis encore en train de rêver de toutes ces promesses à venir, de tous ces plaisirs futurs… là, des fois le réveil est cruel parce que je ne retrouve rien de toutes ces promesses et que l'on me propose juste un joli morceau de marketing thermoformé et emballé à l'air du temps… et je repars en jurant qu'on ne m'y reprendra plus !
Et puis comme je suis finalement assez crédule… je cède aux nouvelles sirènes. Et cette fois encore je me suis laissé embarqué par ces femmes et ces hommes qui m'ont parlé de leurs régions de ces pays basque et béarnais qui voient naître les brebis et les bergers qui produisent les fromages et ceux qui les affinent ensuite et d'estives et de cayolars… et là ils ont ajouté, allez donc le cuisiner et on en reparle après…
Me voilà donc dans un petit atelier à préparer des petites recettes rapides et ingénieuses réalisées par Jérome le jeune chef du jour.
Et curieusement quand il s'est agit d'ajouter le fromage dans la recette, ce quart de fromage qu'il avait posé en me disant, vous pouvez le goûter… et que j'ai goûté, goûté, goûté… il m'a juste tendu un autre morceau accompagné d'un ne vous inquiétez pas ça arrive souvent...
Tatin de brebis pomme et cerises noires (une recette inspirée de celles réalisées lors de l'atelier).
Ingrédients pour 4 tartelettes de 12cm de diamètre : 160g de fromage de brebis - 1 pomme ½ plutôt acidulée – de la confiture de cerises noires – une pâte feuilletée – du poivre
Commencez en coupant le fromage de brebis en fines lamelles et la pomme en fines tranches. Si vos moules ne sont pas anti-adhésifs couvrez-les avec du papier sulfurisé et posez d'abord du fromage, puis des pommes et couvrez enfin avec la pâte feuilletée. Enfournez pour 15 à 20 minutes à 180°.
Laissez alors tiédir, puis démoulez sur une grille et passez rapidement sous un grill bien chaud, histoire de joliment dorer le tout.
Juste avant de servir, ajoutez une bonne cuillère à café de confiture et poivrez bien généreusement.
Le fromage pur brebis et son AOC de du côté de là-bas, des Pyrénées, l'Ossau-Iraty essaye donc d'envahir les frigo ! Mais finalement bien sûr, c’est vous qui voyez !

Mais pourquoi, et finalement les chiens de berger y causent basque ou béarnais… est-ce qu'ils nous cuisinent ça…

lundi 18 mai 2009

La guerre des beurres aura-t-elle lieu au pays de Shakespeare ? Lurpak contre attaque !

L'ancienne gloire glapissante, John Lydon, d'un côté, pour les petites plaquettes dorée et vertes de Country Life… et de l'autre… Lurpak revient avec du classique très classique mais tiré à l'artillerie lourde, le beurre c'est de la volupté en paquet et j'en met des couches et des couches !
Résultat ? à vous de juger !


Et n'oubliez pas...
Mais pourquoi, et si le brebis envahissait le monde… j'ai pas dis la… est-ce qu'ils nous cuisinent ça…

lundi 11 mai 2009

Fini les apéritifs de papa voilà l’Apéro Style(s)… enfin c’est vous qui voyez !

Je reçois de temps en temps de drôles de produits que les marques me confient pour voir ce que j’en pense. Enfin je me demande si certains n’espèrent pas en même temps que j’en parle un peu… va savoir…
Et la dernière fois c’est une curieuse boîte qui est arrivée, une boite siglée Apéro style(s), toute une promesse… Chez mes parents l’apéro se résumait à deux boissons, une anisée pour les hommes, une doucereuse pour les dames et pour avaler la potion chips, cahuètes, olives et jamais rien d’autre !
Quand ma mère tenait une " bonne " recette elle n’avait pas l’habitude d’en changer et là elle pensait tenir la quintessence de l’apéritif réussi, alors en changer...

Depuis la simple vue d’un jaune et de chips sur une table me fait partir en courant et je ne m’arrête plus avant... longtemps ! Quand je m’occupe de l’apéro à la maison, Marie a l’habitude de dire que c’est un repas avant le repas, c’est dire que le simple ne fait pas parti de mon univers. Et forcément quand j’ai ouvert la drôle de boîte, qui n’est d’ailleurs pas qu’une boite, j’ai tordu le nez en voyant apparaître chips, tortillas, noix et cahuètes salées… et puis j’ai vu le petit livret qui accompagne la boîte, un livret à idées signé par Tony Lemâle. Et dedans j’ai trouvé plein d’idées pour customiser les petites choses à grignoter mais aussi toute la maison qui se trouve autour…
Pas convaincu, des fois quand moi aussi je crois que je tiens une bonne
recette… j’allais donc ranger la chose quand mon hamster m’a demandé, tu veux pas qu’on joue à l’apéritif papa ?
Et voilà comment je me suis retrouvé un dimanche midi à m’amuser d’abord avec mon fils et puis petit à petit rejoint par les autres prêts à aider ou à dévorer nos petites créations vite faites bien faites ! On a commencé par tester celles du petit recueil et puis… et voilà ce que ça a donné…

Sardines craquantes… une petite recette devenue classique chez moi et inspirée par une des Recettes inavouables de S. Cruse et S. Ware
Ingrédients : 1 paquet de crackers avec des goûts variés de préférence - 1boîte de sardines - 2oignons nouveaux émincés – quelques brins de ciboulette émincés - de la crème liquide – du citron vert - du Tabasco vert
Ouvrez les sardines et videz l’huile, défaites grossièrement les sardines après avoir enlevé les arrêtes. Arrosez les sardines d’un peu de citron vert.

Prenez une belle poignée de crackers et écrasez-les à la main au dessus de la boîte, personnellement j’aime particulièrement ceux avec des graines pavot. Parsemez dessus les oignons nouveaux et la ciboulette, quelques traits de crème liquide et du Tabasco au goût… mangez sans attendre.
Drôles de glaces à l’italienne parfumées au curry
Ingrédients : 1 paquet de soufflés à la cacahuète – 120g de mascarpone – 60g de crème liquide – du curry en poudre
Versez le mascarpone et la crème liquide dans un bol et fouettez-la de manière à bien l’aérer. Remplissez une poche à douille avec ce mélange et répartissez sur les cônes en faisant comme des glaces à l’italienne. Saupoudrez de curry et mangez de suite. Ne préparez surtout pas ces petites choses trop à l’avance, les soufflés perdraient leur craquant. Une fois la poche à douille remplie laissez chacun faire et profitez-en pour varier les épices.
Et si vous voulez d’autres idées et peut-être aussi recevoir une de ces drôles de boîtes c’est par là : Instant croquant !
Mais finalement c’est bien sûr c’est vous qui voyez !

Mais pourquoi, et pourquoi d’abord un seul moment serait croquant… est-ce qu’ils nous cuisinent ça…

mercredi 6 mai 2009

Ils sont toujours aussi fous ces anglais ! Ou quand ils font vendre du beurre aux Sex Pistols !

Les anglais sont décidément un peuple étonnant... et étonnant ce n'est rien de le dire la preuve !

Depuis quelques temps, Mais pourquoi est-ce qu'ils nous cuisinent ça... mon autre petite maison consacrée à l'info du foodisme effréné était dans le noir. Il était donc temps de rallumer la lumière et de repartir à la recherche de ces curieuses choses que nous proposent les uns et les autres autour de la bouffe ! Et bien sûr pour les histoires et les recettes la maison mère, Mais pourquoi est-ce que je vous raconte ça... doriancuisine.com, vous attends à l'endroit habituel !

Mais pourquoi, et après Demis Roussos va nous vendre de la chantilly... est-ce qu'ils nous cuisine ça...